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ciao Lilli
ne
viens pas
le visage
et années
t’écris
tout
si
voudrais te voir
de ne pas vouloir te voir
la vie
ne
veux pas qu’elle mort
crée pour être
t’attendais
te
regardais
partais content
ne savais pas
maintenant
si
l’espère
de ne vouloir pas te voir
pour ça ne viens
pas
pour te demander
rien
n’ai pas plus
pour te
faire être
ciao Lilli
poesia 1976_10
lilli (5 dfntv)
tes
gémissements
réveillent printemps
ton corps cambré
suit
l’arc-en-ciel
les couleurs de l’iris
mouillent ta peau
tu cris
cri
le sursaut
de ton bassin
comble
l’âme
tu es humide
tu es mouillé
les yeux
regardent loin
ton vagin
m’observe
s’éclore
me
parle
l’invité impétueux
se gonfle
joie de mon
cœur
autoritaire
pénètre
un instant
de
peur
la complaisance
dans les yeux aveuglés
jette un
regard
à tes seins
un tintement
à ton mamelon gai
la
main
accompagne
le ballet
de mon pénis
dedans
ton
vagin
huile
huile de vie
dans ma main
vois tes
cheveux
effleure ta bouche
la langue
se mêle
avec
la tienne
salive froide
entre nous
le ballet a
commencé
nous nous se roulons
comme des enfants
ton
ventre m’appelle
le mien te satisfait
infini dodeliné
de
vie
les doigts
sur ton aine soyeux
poesia 1999_08b
n01abcd
se serrent
et
se relaxent
s’abandonnent
l’un contre l’autre
est
complaisance
est union
nous sommes un
un seul corps
un
seul esprit
une seule âme
une seule pensée
nous
sommes nous
poesia 1999_08a
n20
une odeur
une
saveur
de toi
de nous
la pointe de mon dur
te
cherche
te trouve
glisse dedans
ta
disponibilité
mouillée et accueillente
les corps
contre
à
l’unisson
ondulent
dansent
les bouches
se
veulent
les lèvres
se mordent
les corps
se
prennent
invoquent
l’éternité
ne voulons pas
la
fin
les mains
sans contrôle
caressent
dos
cuisses
peau
et peau
et peau
te trouve
entends te
gémîtes
commence
ton cri
en caressant
ton
âme
ma déesse
le plaisir
a le dessus
nous nous
inondons
nous nous fécondons
les corps
inévitablement
se
serrent
et se relaxent
s’abandonnent
l’un contre
l’autre
est complaisance
est union
nous sommes un
un
seul corps
un seul esprit
une seule âme
une seule
pensée
nous sommes nous
poesia 1999_08a
n20
t’attendre
te
chercher
c’est un plaisir
qui est tu
ne s’imagine
pas
ne s’espère pas
tellement
au delà des limites
tu es là
ton âme
1 poesia
1999_05-n03
attendre
attendre
une vie
un après-midi
est trop
penser à
toi
t’espérer
l’envie de
toi
ta présence
ton visage
ouvert
tes paroles
ton regard
un
rêve
vivre l’amour
de toi
boire
de toi
savourer
toi
gouter
ta lymphe
vivre
de ta
sève
ton liqueur
goutes de toi
boire
ton âme
source limpide
de
vie
1 poesia
1999_05-n04-05
soyeux
lisse
sinueux
qui
se ouvre
qui me regarde
cherche caresses
convexe
pour
la concavité
de mes main
un bourgeon
au milieu
dans
une auréole
humide dessous
mes doits
font
naufrage
le appuyaient
tintement
de carillon
les
lignes sinueuses
se perdent
se poursuivent
soyeux
rondeurs
comme coupe
haletant
et mobile
sursautant
impétueux
me caresse
la main
qui
se perd
qui hésite
à mordre
chaud et poli
se
prodigue
et inonde
abandonné
et
sautillant
enveloppe
comme gaine
qui comble
les
vides
frémit
et il s’élève
pour s’étendre
et
comble
les sens
envahi
les yeux
le tout
me
dit
que tu est femme
poesia 2000_01-n04 a b c
femme
qui
marche
qui boit
sinueuse
insinuante
moelleuse
et rotonde
pensée
vibrée
de corde de violon
accordée
dedans
pour toi jouent
les infinies extases
abondantes
moissons
de
charnelles spiritualités
comme
toujours
pour une sensuelle
femme
poesia 2000 (09)_n04
i
|
déesse nue
te
chante
la lumière sur tes lignes
l’iris sur tes
cheveux
les claires
les obscures
les clair-obscures
ta
peau se compare
à la soie
tes ébènes
tes
ivoires
les convexités s’écloraient
dans les
concavités
les lignes sinueuses se poursuivaient
dans le
labyrinthe
l’onguent coule
dans tes ruisseaux
la
lymphe comble
tes lacs
les sommets tiennent
les
collines chantent
les vallées rient
adagio ma non
troppo
lentissimo con brio
la symphonie efflore
ta
peau
fils de brocart
et flûtes de vie
la neige fond
à
ta chaleur
les fleures écloraient
à ta lumière
voudrais
te toucher et
ne peux pas
voudrais me déferler
voudrais
escalader tes sommets
voudrais courir tes pelouses
veux
chanter ton corps
les coins vierges
les places non
touchés
ton esprit
est vierge
tu es vierge
t’avoir
te
désirer
t’aimer
te garder
et la lumière encore
mouille
tes rives
tes anses
promettent l’absolu
tes
rivages
tes ports
sont refuge pour les humains
déesse
magnifique
accueille mon esprit
au ton sain
je serai
sauve
ton contact
me chauffe
tes paroles
me
nourrirent
ton corps
me sublime
te chante
déesse
nue
poesia 1999_08a
n14
l’imagination
est
comme la réalité
pense à toi
et t’’approches à
moi
te prodigues
t’offres
ton chaud corps
se
modèle sur le mien
ta bouche
se pose sur mon cou
et
petits baisés
je t’offre sur le tien
cou décollé
tes
seins
petits et moelleux
petits cons parfaits
tétons
tendres et délicats
au milieu de tes mamelles
descends
souple et tendu
prélude
de ton blond poil
rêve
primordiale
t’embrasse dedans
ma lingue pénètre
ton
liquide
me mouille
le savoure
nectar des dieux
son
gout
m’enivre
la main caresse
et serre
un
sein
en cherche la pointe
avec un doigt
douceur
lèche
ta mamelle
la souche
comme j’ai léché
ta
soie
créature céleste
ma salive t’humidifie
une
odeur
une saveur
de toi
de nous
la pointe de mon
dur
te cherche
te trouve
glisse dedans
ta
disponibilité
mouillée et accueillente
les corps
contre
à
l’unisson
ondulent
dansent
les bouches
se
veulent
les lèvres
se mordent
les corps
se
prennent
invoquent
l’éternité
ne voulons pas
la
fin
les mains
sans contrôle
caressent
dos
cuisses
peau
et peau
et peau
te trouve
entends te
gémîtes
commence
ton cri
en caressant
ton
âme
ma déesse
le plaisir
a le dessus
nous nous
inondons
nous nous fécondons
les corps
inévitablement
se
serrent
et se relaxent
s’abandonnent
l’un contre
l’autre
est complaisance
est union
nous sommes un
un
seul corps
un seul esprit
une seule âme
une seule
pensée
nous sommes nous
poesia 1999_08a
n20
Le plaisir
de
l’esprit
est physique
est comme le plaisir
quand
est sublimé
est un pas en avant
est plus haut
est
plus dedans
est plus envers
est poésie dense
est
impossible à atteindre
mais le
ressens
l’écoutes
sens
et
t’enivres
poesia 2000
(09)_n09
photographie
photo
sublime
le visage
le regard
le corps
le tout
parle
de joie
de simplicité
de douceur
de
délicatesse
de poésie
de spontanéité
de
raffinement
de gentillesse
de charme
de vie
de
vérité
d’absolu
d’amour
t’offrir
t’enseigner
l’amour
t’enseigner
le
secret
de l’amour
t’enseigner
le jeu
de
l’amour
te dire
je t’aime
te dire
je
te veux
savoir que
m’aimes
savoir que
tu
es mienne
te donner
tout
recevoir
tout
vivre
pour la femme
qu’aime
poesia 2000_03-n01 a b
Une
femme
amoureuse
comblée
d’émotions
quand elle
pense
je ‘aime
avec le cœur
avec l’esprit
te
dit
tout
avec son silence
te serre à soi
avec
sa
pensée
t’écoute
avec tout
son sentiment
tu me enfle
le
cœur
comme un souffle
de vie
l’âme se ouvre
et
respire
quand je te ressens
éclairée
prés de
moi
disponible et
libre
rêve de printemps
poesia 2000 (09)_n01 02
femme
où tu
regardes
amples respires se ouvrent
et grandes visions
se
prolongent
de tes mains
de velours
et tenaces
comme
prise qui serre
pour l’avenir
changé
et
déterminé
avec le doux chant
de l’ode
éternelle
qui vibre et
régénère
pour
l’homme
et est
femme
poesia 2000 (09)_n06
|
les lèvres se
prennent
les yeux se prennent
la langue pénètre
tes
lèvres humides
les lingues se tortillent
la main
glisse
long ton corps
entre tes seins ronds pointus
souple
repos
le téton tendre et proie
de mes lèvres
le
mords avec les lèvres
laissées les tiennes
les yeux
frétillent
je reviens sur les pétales
de tes
lèvres
requérantes
ma main entre
entre tes cuisses
de soie
l’érotisme nous prends
les cuisses sont
humides
serre ton bassin
mon visage s’enfonce
dans
tes blonds poiles
te serre
te sens
mes lèvres se
mouillent
de ton nectar
les cuisses caressées
se
ouvrent comme fenêtre
en mai
me réclament
le regard
glisse sur tes cuisses nues
les caresse jusqu’à
ton
vagin
jeune fille incrédule
en prends les lèvres
me
mouille de vie
ta lymphe coule
ma main en est plaine
les
yeux conseillent
ta main fixe
ma verge
est joie des
yeux
le regard humide
pénètre le tien
ta langue
glisse sur
mon sexe
mouillé avec mouillé
je
t’approche
pour vivre ton dedans
pour jouir de ton
mystère
pour aimer ton ventre
pour m’unir à ton âme
de
femme
entre
et c’est le plaisir
encore yeux avec
yeux
te regarde
te prends
t’inonde
te
féconde
toujours
yeux avec yeux
mains sur nos corps
serrent
tes merveilles
suis tien
es mienne
est le
plaisir
est le mystère
est la vie
les yeux se
ferment
corps avec corps
main avec main
je t’aime
poesia 1999_08a
n19a
tes
gémissements
réveillent printemps
ton corps cambré
suit
l’arc-en-ciel
les couleurs de l’iris
mouillent ta peau
tu cris
cri
le sursaut
de ton bassin
comble
l’âme
tu es humide
tu es mouillé
les yeux
regardent loin
ton vagin
m’observe
s’éclore
me
parle
l’invité impétueux
se gonfle
joie de mon
cœur
autoritaire
pénètre
un instant
de
peur
la complaisance
dans les yeux aveuglés
jette un
regard
à tes seins
un tintement
à ton mamelon gai
la
main
accompagne
le ballet
de mon pénis
dedans
ton
vagin
huile
huile de vie
dans ma main
vois tes
cheveux
effleure ta bouche
la langue
se mêle
avec
la tienne
salive froide
entre nous
le ballet a
commencé
nous nous se roulons
comme des enfants
ton
ventre m’appelle
le mien te satisfait
infini dodeliné
de
vie
les doigts
sur ton aine soyeux
poesia 1999_08b
n01abcd
me souris
est
un rêve
es vraie et
femme
tes yeux profonds
me
parlent
si voudrais
te regarder
et suis la ligne
qui
te caresse
rotonde et plaine
comme coupe
moelleux
rêve
rêve
les lèvres
et poursuis
tes
mouvements
et rêve
tes mains blanches
de caresses
poesia 2000
(09)_n12
regard
le tien
yeux
bouche et corps
les tiens
ta chaleur
ton parfum
un
rêve
tes photos
ton visage
mon dieu
tu es un
ange
tes lèvres
ta saveur
poesia
1999_05-n02
tu ne
comprends
attendre
la femme
toute sa vie
je
t’attends
depuis toujours
te regarder
t’adorer
te
caresser
allongée sur le papier
sublime
comme sur
l’autel
te dessiner
te photographier
te chanter
yeux
lumineux
yeux transparents
yeux doucissimes
yeux
piquants
yeux qui regardent
yeux qui caressent
yeux
qui veulent
yeux qui aiment
regard brillant
regard de
lèvres
corps chaud
tes sein entre nous
sensation
d’e
ta
voix
subtile
la joie
dans tes paroles
les
paroles
de tes silences
tes
silences
pleins
comblés
quand
la
voix
s’émotionne
mots brulants
chouchoutés
un
ciao
léger
impalpable
délicat
comblé
d’amour
dit
avec le cœur
poesia 2000_03-n02
Une femme
une
étoile
la surprise
douce
intense
vraie
ton
âme
transparente
ton regard
limpide
tes
mains
soyeuse
est beau savoir que
tu existe
créature
céleste
vives dans les étoiles
brilles
et
éclaires
mouillée
de rosée
comme vie
comme lumière
comme eau
linéaire
étincelante
limpide
reflet de déesse
transparente
et candide
quand
ouvres ton âme
poesia 2000 (09)_n03
femme
où la
lumière
le soleil et la lune
appellent
et
enchantent
pour l’eternel ressentir
intime
de ton
être
où il y a
à jamais
le chant d’étoile
et
le soupir de terre
poussière brillante
qui humidifiait
le
regard aveuglé
de qui te convoite
te cherche et
te
possède
femme
poesia 2000 (09)_n07
|